Pourquoi certaines idols féminines refusent de faire de l’aegyo ?

L’aegyo est omniprésent dans la culture K-pop, souvent perçu comme un passage obligé pour les idols féminines. Pourtant, plusieurs d’entre elles s’y refusent. Pourquoi ?
🧠 L’aegyo : entre charme et pression sociale
Dans l’univers K-pop, faire de l’aegyo revient à adopter une attitude “mignonne”, souvent enfantine. C’est un outil marketing mais aussi un marqueur culturel fort.
- Utilisé pour séduire les fans
- Souvent demandé lors des émissions télévisées
- Perçu comme une norme féminine dans l’industrie
🚫 Pourquoi certaines idols féminines disent non à l’aegyo
1. Une incompatibilité avec leur personnalité
Des idols comme Seulgi (Red Velvet) ou Dami (Dreamcatcher) ont souvent exprimé leur malaise face à l’aegyo, le jugeant “non naturel”.
2. Une volonté de casser les stéréotypes
Certaines idols rejettent volontairement ce rôle, préférant projeter une image forte, indépendante ou sérieuse. Exemple : Soyeon I-DLE, très vocale sur son identité artistique.
3. Un rejet de l’infantilisation
Être perçue comme trop “mignonne” peut nuire à leur crédibilité professionnelle, surtout si elles veulent s’imposer en tant qu’artistes matures.
💬 Une stratégie médiatique assumée
Refuser l’aegyo peut aussi renforcer l’identité de l’idol au sein d’un groupe, créant un contraste marquant avec des membres plus expressives.
Les fans apprécient souvent cette authenticité, surtout dans les groupes où la diversité des personnalités est mise en avant.
🎯 Conclusion
Loin d’être un simple caprice, le refus de faire de l’aegyo est souvent un acte réfléchi, lié à l’image publique que l’idol souhaite projeter. Et vous, préférez-vous les idols qui en font ou celles qui s’en passent ?
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