Révélations choc : Yoo Jung de LABOUM dévoile les restrictions strictes imposées aux idoles de K-pop
Les idoles de K-pop face à des règles draconiennes

Le monde scintillant de la K-pop cache souvent une réalité bien plus austère pour ses artistes. Lors d’une récente émission YouTube, d’anciennes idoles ont levé le voile sur les conditions strictes qui régissaient leur quotidien, révélant un contrôle qui va bien au-delà de ce que les fans peuvent imaginer.
Des confessions surprenantes sur une émission YouTube
Le 4 avril 2025, la chaîne YouTube « Content Production Studio » a publié une vidéo intitulée « Nous avons invité une idole de 3ème génération qui était très populaire parmi les soldats!! | Audience de classe B Saison 2 ». Dans cette émission, d’anciennes membres de groupes féminins ont partagé leurs expériences.
Ryu Sujeong, ancienne membre de Lovelyz, a évoqué ses relations avec d’autres groupes : « À notre époque, les promotions sur les émissions musicales duraient longtemps. Nous faisions régulièrement des promotions de deux mois, donc quand nous faisions notre comeback, LABOUM était là, et quand LABOUM faisait son comeback, Lovelyz était présent. »
Elle a ajouté : « Nous nous saluions en nous croisant, donc nous étions amicales, mais comme les deux groupes n’avaient pas de téléphones portables, il était difficile de devenir vraiment proches à cette époque. »

Une surveillance constante des agences
Ryu Sujeong a poursuivi en affirmant : « Nous n’utilisions vraiment pas de téléphones. Notre situation était assez stricte. » Yoo Jung a confirmé : « Quand on nous disait de ne pas faire quelque chose, nous ne le faisions pas. »
Face à ces révélations, Nam Ho-yeon, présent sur le plateau, a posé une question pertinente : « Alors comment Yul Hee de LABOUM a-t-elle pu tomber enceinte si vous n’aviez pas le droit d’utiliser vos téléphones ? » Yoo Jung a alors révélé : « Elle avait caché son téléphone et s’est fait prendre. »
Les conséquences des règles strictes dans l’industrie
Le cas de Yul Hee comme exemple
Pour rappel, Yul Hee avait confirmé en 2017, alors qu’elle était encore active avec LABOUM, sa relation avec Choi Min-hwan, membre du groupe FT Island. Elle avait ensuite quitté le groupe après avoir annoncé sa grossesse avant le mariage.
Des méthodes de surveillance extrêmes
Concernant l’interdiction des relations amoureuses, Yoo Jung a précisé : « Ce n’était pas spécifiquement mentionné dans notre contrat, mais l’agence nous avait fermement interdit d’avoir des relations amoureuses. Il y avait même des caméras de surveillance dans le placard à chaussures de notre dortoir pour vérifier si nous sortions ou non. »
Elle a conclu par une anecdote révélatrice : « Pendant notre première année, je suis sortie brièvement parce que je voulais boire du bubble tea, et j’ai été convoquée à l’agence. » Cette confession a choqué tous les participants de l’émission.
La face cachée de l’industrie de la K-pop
Les témoignages de ces anciennes idoles nous rappellent que derrière les paillettes et les chorégraphies parfaites se cache une réalité bien plus complexe. Les agences exercent un contrôle strict sur la vie personnelle de leurs artistes, allant jusqu’à surveiller leurs moindres faits et gestes.
Que pensez-vous de ces restrictions imposées aux idoles ? Trouvez-vous ces pratiques justifiées ou excessives pour protéger l’image des groupes ?
Source : Article original en coréen
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